HC/E/USs 226
États-Unis d'Amérique - Niveau étatique
Supreme Court of Kansas (Etats-Unis)
Deuxième Instance
Israël
États-Unis d'Amérique - Niveau étatique
16 April 1999
Définitif
Droit de garde - art. 3 | Questions procédurales
Retour ordonné
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Actual Exercise of Custody Rights Where the actual exercise of custody rights is at issue the only acceptable solution, in the absence of a ruling from a court in the country of habitual residence, is to liberally find exercise whenever a parent with de jure custody rights keeps or seeks to keep, any sort of regular contact with his or her child. In the instant case, while they were with their mother and their grandmother the court found that the father had regularly visited the children and that he had financially supported them while the mother was abroad. On the facts, the evidence was sufficient to support the District Court's conclusion that the father had been exercising his rights of custody at the time of the removal.
It may be noted that the District Court gave the mother 90 days to submit herself and the children to the jurisdiction of the Israeli courts. The mother was also required by the District Court to pay the father $7,830 for the expenses he incurred in the application.
Where a removal or retention is established as being wrongful and less that 12 months have elapsed before the commencement of the return proceedings, then Article 12(1) provides that the child shall be returned forthwith. This is designed to give effect to the goal of restoring the pre-abduction situation as quickly as possibly. However questions sometimes arise as to the modalities of return and whether, if at all, time should be allowed to make preparations or to allow the child finish the school term. Practice varies on this issue.
United States of America
Sampson v. Sampson, 267 Kan. 175, 975 P.2d 1211 (Kan. App. 1999), [INCADAT cite: HC/E/USs 226].
The trial court gave the mother 90 days to submit herself and the children to the jurisdiction of the Israeli courts.
In other cases the concept of the return 'forthwith' of a wrongfully removed or retained child has been interpreted much more strictly, see:
France
Procureur de la Rèpublique c. Bartège, 27 June 1994, transcript, Montpellier Court of Appeal [INCADAT cite: HC/E/FR 63];
New Zealand
Fenton v. Morris, 28 July 1995, transcript, New Zealand District Court at Wellington [INCADAT cite: HC/E/NZ 249];
United Kingdom - Scotland
D.I. Petitioner [1999] Green's Family Law Reports 126, [INCADAT cite: HC/E/UKs 352].
The trial judge held that the meaning of the term ‘return forthwith' depended on the circumstances of the case. It was agreed by the parties that the original time of two days was unrealistically short and a figure of seven days was agreed instead.
It has equally been noted that a return forthwith may no longer be appropriate where excessive delay has occurred since the commencement of the return proceedings:
United Kingdom - England & Wales
Re D. (A Child) (Abduction: Foreign Custody Rights) [2006] UKHL 51, [2007] 1 A.C. 619, [INCADAT cite: HC/E/UKe 880] : almost 4 years had elapsed since the arrival of the child.
Courts in a variety of Contracting States have afforded a wide interpretation to what amounts to the actual exercise of rights of custody, see:
Australia
Director General, Department of Community Services Central Authority v. J.C. and J.C. and T.C. (1996) FLC 92-717 [INCADAT cite: HC/E/AU 68];
Austria
8Ob121/03g, Oberster Gerichtshof, 30/10/2003 [INCADAT cite: HC/E/AT 548];
Belgium
N° de rôle: 02/7742/A, Tribunal de première instance de Bruxelles 6/3/2003 [INCADAT cite: HC/E/BE 545];
United Kingdom - England & Wales
Re W. (Abduction: Procedure) [1995] 1 FLR 878, [INCADAT cite: HC/E/UKe 37];
France
Ministère Public c. M.B. Cour d'Appel at Aix en Provence (6e Ch.) 23 March 1989, 79 Rev. crit. 1990, 529 note Y. Lequette [INCADAT cite: HC/E/FR 62];
CA Amiens 4 mars 1998, n° 5704759 [INCADAT cite: HC/E/FR 704];
CA Aix en Provence 8/10/2002, L. v. Ministère Public, Mme B et Mesdemoiselles L (N° de rôle 02/14917) [INCADAT cite: HC/E/FR 509];
Germany
11 UF 121/03, Oberlandesgericht Hamm, [INCADAT cite: HC/E/DE 822];
21 UF 70/01, Oberlandesgericht Köln, [INCADAT cite: HC/E/DE 491];
New Zealand
The Chief Executive of the Department for Courts for R. v. P., 20 September 1999, Court of Appeal of New Zealand [INCADAT cite: HC/E/NZ 304];
United Kingdom - Scotland
O. v. O. 2002 SC 430 [INCADAT cite: HC/E/UKs 507].
In the above case the Court of Session stated that it might be going too far to suggest, as the United States Court of Appeals for the Sixth Circuit had done in Friedrich v Friedrich that only clear and unequivocal acts of abandonment might constitute failure to exercise custody rights. However, Friedrich was fully approved of in a later Court of Session judgment, see:
S. v S., 2003 SLT 344 [INCADAT cite: HC/E/UKs 577].
This interpretation was confirmed by the Inner House of the Court of Session (appellate court) in:
AJ. V. FJ. 2005 CSIH 36, 2005 1 S.C. 428 [INCADAT cite: HC/E/UKs 803].
Switzerland
K. v. K., Tribunal cantonal de Horgen [INCADAT cite: HC/E/CZ 299];
449/III/97/bufr/mour, Cour d'appel du canton de Berne, [INCADAT cite: HC/E/CH 433];
5A_479/2007/frs, Tribunal fédéral, IIè cour civile, [INCADAT cite: HC/E/CH 953];
United States of America
Friedrich v. Friedrich, 78 F.3d 1060 (6th Cir) [INCADAT cite: HC/E/USf 82];
Sealed Appellant v. Sealed Appellee, 394 F.3d 338 (5th Cir. 2004), [INCADAT cite: HC/E/USf 779];
Abbott v. Abbott, 130 S. Ct. 1983 (2010), [INCADAT cite: HC/E/USf 1029].
See generally Beaumont P.R. and McEleavy P.E., 'The Hague Convention on International Child Abduction' OUP, Oxford, 1999 at p. 84 et seq.
Exercice effectif du droit de garde Lorsque l’exercice effectif de la garde est discutée, la seule solution acceptable en l’absence de décision judiciaire de l’Etat de résidence habituelle est d’admettre largement l’exercice du droit de garde dès lors qu’un parent, investi de jure de la garde conserve ou cherche à conserver des contacts régulier avec son enfant. En l’espèce, alors même que les enfants se trouvaient avec leur mère ou leur grand-mère, le juge considéra que leur père leur avait régulièrement rendu visite et les avait pris financièrement en charge lorsque la mère se trouvait à l’étranger. Dès lors, la preuve était suffisante pour que le juge de district conclue à bon droit que le père exerçait effectivement son droit de garde à la date du déplacement.
Il convient de remarquer que le juge de district donna 90 jours à la mère et aux enfants pour se présenter aux juridictions israéliennes. La mère fut également condamnée à verser au père 7 830 $ pour compenser les dépenses qu’il avait assumées pour la demande de retour.
Lorsqu'un déplacement ou non-retour est avéré et que moins de 12 mois se sont écoulés au moment de l'introduction de la demande, l'article 12(1) prévoit le retour immédiat de l'enfant. Le but visé est la restauration effective la plus rapide possible de la situation précédant l'enlèvement. Toutefois des questions peuvent parfois se poser au sujet des modalités de retour ou de la concession éventuelle de délais afin de faire des préparatifs ou de permettre à l'enfant de terminer sa session scolaire. La pratique varie sur ce point.
États-Unis d'Amérique
Sampson v. Sampson, 267 Kan. 175, 975 P.2d 1211 (Kan. App. 1999), [Référence INCADAT : HC/E/USs 226]
Le tribunal de première instance a donné 90 jours à la mère pour se soumettre avec les enfants à la compétence des tribunaux israéliens.
Dans d'autres cas, le concept de retour « immédiat » d'un enfant déplacé ou retenu illicitement a été interprété bien plus strictement, voir :
France
Procureur de la République c. Bartège, 27 juin 1994, transcript, Cour d'appel de Montpellier [Référence INCADAT : HC/E/FR 63].
Nouvelle-Zélande
Fenton v. Morris, 28 juillet 1995, transcript, New Zealand District Court at Wellington [Référence INCADAT : HC/E/NZ 249].
Royaume-Uni - Écosse
D.I. Petitioner [1999] Green's Family Law Reports 126, [Référence INCADAT : HC/E/UKs 352]
Le juge de première instance a estimé que le sens de l'expression « retour immédiat » dépendait des circonstances de l'espèce. Les parties convinrent que le délai initial de deux jours était trop court pour être réaliste et convinrent à la place d'un délai de 7 jours.
Il a également été noté qu'un retour immédiat pourrait ne plus s'avérer approprié lorsque des retards excessifs avaient suivi l'introduction de la procédure de retour :
Royaume-Uni - Angleterre et Pays de Galles
Re D. (A Child) (Abduction: Foreign Custody Rights) [2006] UKHL 51, [2007] 1 A.C. 619, [Référence INCADAT : HC/E/UKe 880] : près de 4 ans s'étaient écoulés depuis l'arrivée de l'enfant.
Les juridictions d'une quantité d'États parties ont également privilégié une interprétation large de la notion d'exercice effectif de la garde. Voir :
Australie
Director General, Department of Community Services Central Authority v. J.C. and J.C. and T.C. (1996) FLC 92-717 [Référence INCADAT : HC/E/AU 68] ;
Autriche
8Ob121/03g, Oberster Gerichtshof, 30/10/2003 [Référence INCADAT: HC/E/AT 548] ;
Belgique
N° de rôle: 02/7742/A, Tribunal de première instance de Bruxelles 6/3/2003 [Référence INCADAT: HC/E/BE 545] ;
Royaume-Uni - Angleterre et Pays de Galles
Re W. (Abduction: Procedure) [1995] 1 FLR 878, [1996] 1 FCR 46, [1995] Fam Law 351 [Référence INCADAT : HC/E/UKe 37] ;
France
Ministère Public c. M.B. Cour d'Appel d'Aix en Provence (6e Ch.) 23 Mars 1989, 79 Rev. crit. 1990, 529 note Y. Lequette [Référence INCADAT : HC/E/FR 62] ;
CA Amiens 4 mars 1998, n° 5704759 [Référence INCADAT : HC/E/FR 704] ;
CA Aix en Provence 8/10/2002, L. v. Ministère Public, Mme B et Mesdemoiselles L (N° de rôle 02/14917) [Référence INCADAT : HC/E/FR 509] ;
Allemagne
11 UF 121/03, Oberlandesgericht Hamm, [Référence INCADAT : HC/E/DE 822] ;
21 UF 70/01, Oberlandesgericht Köln, [Référence INCADAT : HC/E/DE 491] ;
Nouvelle-Zélande
The Chief Executive of the Department for Courts for R. v. P., 20 September 1999, Court of Appeal of New Zealand [Référence INCADAT : HC/E/NZ 304] ;
Royaume-Uni - Écosse
O. v. O. 2002 SC 430 [Référence INCADAT : HC/E/UKs 507].
Dans cette décision, la « Court of Session », Cour suprême écossaise, estima que ce serait peut-être aller trop loin que de suggérer, comme les juges américains dans l'affaire Friedrich v. Friedrich, que seuls des actes d'abandon clairs et dénués d'ambiguïté pouvaient être interprétés comme impliquant que le droit de garde n'était pas exercé effectivement. Toutefois, « Friedrich » fut approuvée dans une affaire écossaise subséquente:
S. v. S., 2003 SLT 344 [Référence INCADAT : HC/E/UKs 577].
Cette interprétation fut confirmée par la cour d'appel d'Écosse :
A.J. v. F.J. 2005 CSIH 36 [Référence INCADAT : HC/E/UKs 803].
Suisse
K. v. K., 13 février 1992, Tribunal cantonal de Horgen [Référence INCADAT : HC/E/SZ 299] ;
449/III/97/bufr/mour, Cour d'appel du canton de Berne, [Référence INCADAT : HC/E/CH 433];
5A_479/2007/frs, Tribunal fédéral, IIè cour civile, [Référence INCADAT : HC/E/CH 953];
États-Unis d'Amérique
Friedrich v. Friedrich 78 F.3d 1060 (6th Cir) [Référence INCADAT : HC/E/USf 82] ;
Sealed Appellant v. Sealed Appellee, 15 December 2004, United States Court of Appeals for the Fifth Circuit [Référence INCADAT : HC/E/US 779] ;
Abbott v. Abbott, 130 S. Ct. 1983 (2010), [Référence INCADAT : HC/E/USf 1029].
Sur cette question, voir : P. Beaumont et P. McEleavy, The Hague Convention on International Child Abduction, OUP, Oxford, 1999 p. 84 et seq.
Ejercicio real de los derechos de Custodia Cuando el ejercicio real de los derechos de custodia está en juego, la única solución aceptable en ausencia de un fallo de un tribunal del país de residencia habitual, es encontrar libremente el ejercicio cuando un progenitor con los derechos de custodia de jure mantiene o desea mantener cualquier tipo de contacto periódico con su hijo o hija. En el caso presente, mientras estaban con su madre y su abuela, el tribunal concluyó que el padre había visitado periódicamente a los menores y que los había sostenido económicamente mientras la madre estaba en el exterior. En cuanto a los hechos, las pruebas eran suficientes como para respalda la conclusión del Tribunal de Distrito de que el padre había estado ejerciendo sus derechos de custodia en el momento de la sustracción.
Puede observarse que el Tribunal de Distrito otorgó a la madre 90 días para presentarse ella y los menores ante la jurisdicción de los tribunales israelíes. El Tribunal de Distrito también se exigió a la madre el pago de $ 7.830 al padre por los gastos incurridos en la solicitud.
Para los casos en que se establece que el traslado o retención del niño fue ilícito y han transcurrido 12 meses desde la fecha de iniciación del procedimiento de restitución, el artículo 12(1) prevé la restitución inmediata del niño. La intención es restablecer la situación previa a la sustracción lo antes posible. No obstante, pueden surgir preguntas en cuando a la modalidad de restitución y en cuanto a si debería otorgarse un tiempo de preparación o para permitir que el niño termine el ciclo lectivo. Las prácticas al respecto varían.
Estados Unidos de América
Sampson v. Sampson, 267 Kan. 175, 975 P.2d 1211 (Kan. App. 1999), [Referencia INCADAT: HC/E/USs 226].
El tribunal de primera instancia dio a la madre 90 días para que se sometiera a la competencia de los tribunales israelíes.
En otros casos, el concepto de restitución "inmediata" de un menor trasladado o retenido ilícitamente ha sido interpretado de manera mucho más restrictiva. Véanse:
Francia
Procureur de la Rèpublique c. Bartège, 27 de junio de 1994, transcript, Tribunal de Apelaciones de Montpellier [Referencia INCADAT: HC/E/FR 63];
Nueva Zelanda
Fenton v. Morris, 28 July 1995, transcript, New Zealand District Court at Wellington [Referencia INCADAT: HC/E/NZ 249];
Reino Unido - Escocia
D.I. Petitioner [1999] Green's Family Law Reports 126, [Referencia INCADAT: HC/E/UKs 352].
El juez de primera instancia sostuvo que el significado del termino "restitución inmediata" depende de las circunstancias del caso. Las partes acordaron que el plazo de dos días acordado inicialmente era demasiado corto, por lo que en cambio acordaron una figura de siete días.
Asimismo, se ha destacado que puede que la restitución inmediata no sea apropiada cuando ha habido una demora excesiva desde el inicio del procedimiento de restitución:
Reino Unido - Inglaterra y Gales
Re D. (A Child) (Abduction: Foreign Custody Rights) [2006] UKHL 51, [2007] 1 A.C. 619, [Referencia INCADAT: HC/E/UKe 880] : habian transcurrido casi cuatro años desde la llegada del niño.
Los tribunales de diversos Estados contratantes le han asignado una interpretación amplia al concepto de ejercicio efectivo de los derechos de custodia. Véase:
Australia
Director General, Department of Community Services Central Authority v. J.C. and J.C. and T.C. (1996) FLC 92-717 [Referencia INCADAT: HC/E/AU 68];
Austria
8Ob121/03g, Oberster Gerichtshof, 30/10/2003 [Referencia INCADAT: HC/E/AT 548];
Bélgica
N° de rôle: 02/7742/A, Tribunal de première instance de Bruxelles 6/3/2003 [Referencia INCADAT: HC/E/BE 545];
Reino Unido - Inglaterra y Gales
Re W. (Abduction: Procedure) [1995] 1 FLR 878; [Referencia INCADAT: HC/E/UKe 37];
Francia
CA Aix en Provence 23/03/1989, Ministère Public c. M. B., [Referencia INCADAT: HC/E/FR 62];
CA Amiens 4 mars 1998, n° 5704759 [Referencia INCADAT: HC/E/FR 704];
CA Aix en Provence 8/10/2002, L. c. Ministère Public, Mme B et Mesdemoiselles L (N° de rôle 02/14917) [Referencia INCADAT: HC/E/FR 509];
Alemania
11 UF 121/03, Oberlandesgericht Hamm, [Referencia INCADAT: HC/E/DE 822];
21 UF 70/01, Oberlandesgericht Köln, [Referencia INCADAT : HC/E/DE 491];
Nueva Zelanda
The Chief Executive of the Department for Courts for R. v. P., 20 de septiembre de 1999, Tribunal de Apelaciones de Nueva Zelanda [Referencia INCADAT: HC/E/NZ 304];
Reino Unido - Escocia
O. v. O. 2002 SC 430 [Referencia INCADAT: HC/E/UKs 507].
En este caso el Tribunal Superior de Justicia (Court of Session) afirmó que se podría estar yendo muy lejos al sugerir, al igual que el Tribunal Federal de Apelaciones de los Estados Unidos para el Sexto Circuito en Friedrich v. Friedrich, que solo actos claros e inequívocos de abandono podrían constituir el no ejercicio de derechos de custodia. Sin embargo, Friedrich fue plenamente aprobado en una sentencia posterior del Tribunal Superior de Justicia. Véase:
S. v S., 2003 SLT 344 [Referencia INCADAT: HC/E/UKs 577].
Esta interpretación fue ratificada por la Inner House of the Court of Session (tribunal de apelaciones) en:
A.J. v. F.J. 2005 CSIH 36, 2005 1 S.C. 428 [Referencia INCADAT: HC/E/UKs 803];
Suiza
K. v. K., Tribunal cantonal de Horgen [Referncia INCADAT: HC/E/SZ 299];
449/III/97/bufr/mour, Cour d'appel du canton de Berne, [Referencia INCADAT : HC/E/CH 433];
5A_479/2007/frs, Tribunal fédéral, IIè cour civile, [Referencia INCADAT : HC/E/CH 953];
Estados Unidos de América
Friedrich v. Friedrich, 78 F.3d 1060 (6th Cir) [Referencia INCADAT: HC/E/USf 82];
Sealed Appellant v. Sealed Appellee, 394 F.3d 338 (5th Cir. 2004), [Cita INCADAT: HC/E/USf 779];
Abbott v. Abbott, 130 S. Ct. 1983 (2010), [Referencia INCADAT: HC/E/USf 1029].
Ver, en general, Beaumont P.R. and McEleavy P.E., The Hague Convention on International Child Abduction, OUP, Oxford, 1999 en p. 84 y ss.